Architecture et Géobiologie pour un habitat sain
« Être bien chez soi et en soi »
Étymologiquement, ce mot vient de racines grecques : Géo (la terre), Bios (le vivant) et Logos (étude, connaissance).
Bien que le terme de « géobiologie » soit assez récent (début 20e siècle), la connaissance du lieu et de ses influences est un savoir ancestral souvent oublié par l’homme moderne…
On pense évidemment aux menhirs, dolmens et enceintes sacrées dont les emplacements étaient savamment étudiés pour créer des antennes captant les influences telluriques et cosmiques.
Le Vastu Shastra est un art issu de la tradition indienne, appelé aussi science sacrée de l’habitat. Son principe fondamental est d’accorder l’habitat avec les lois de la Nature en travaillant sur l’emplacement, l’orientation, les proportions, les matériaux, l’utilisation et l’affectation des espaces.
Le Feng Shui, héritier du Vastu et issu de la tradition Taoiste en Chine cherche aussi l’harmonie des rapports entre l’homme et son environnement.
Hippocrate, père de la médecine moderne, écrivait : « Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considérera comment l’endroit est disposé (…). Mais aussi (de) tout un tas d’autres phénomènes impalpables émanant du sous-sol de la Terre et de l’espace, susceptibles d’altérer la qualité vibratoire d’un lieu. »
Des Celtes jusqu’aux bâtisseurs de cathédrales, tous avaient la connaissance des réseaux telluriques et leurs influences vibratoires.
Aujourd’hui en 2024, la Confédération Nationale de Géobiologie, dont je suis membre, donne la définition suivante :
« La géobiologie hygiène de l’environnement (GHE) est la discipline qui traite des relations
de l’environnement, des constructions et du mode de vie avec le vivant. »
Nous savons que notre environnement naturel et artificiel (nouvelles technologies) n’est pas neutre.
Il peut agir sur notre bien-être à différents niveaux. Sachant que nous passons plus de 80% de notre temps à l’intérieur, entre notre maison et notre lieu de travail, il est alors intéressant de poser un diagnostic pour prévenir ou solutionner d’éventuels troubles.
Dans sa pratique actuelle, le géobiologue est une sorte de « médecin de l’habitat », dont les pratiques nécessitent, à la fois, des qualités techniques et sensorielles.
Mes investigations portent sur :
La géobiologie peut vous apporter des réponses et des remédiations. Mieux connaitre et comprendre son lieu (et donc mieux relationner avec lui) est un enrichissement indéniable !
Cette pratique s’applique à tous les lieux, sans limites, puisqu’elle est au service du monde Vivant, humain, animal et végétal :
C’est un travail d’enquête qui rassemble observations, détections et mesures scientifiques.
L’objectif est de déterminer les caractéristiques de votre lieu et de dresser un bilan sur tous les facteurs ayant une influence sur votre bien-être.
Après un entretien détaillé par téléphone, la première partie des recherches se fait à distance sur plans et cartographies.
Puis il faut prévoir entre une demi-journée et une journée d’investigations sur site (durée plus longue pour les exploitations agricoles ou les grands domaines).
En fin d’intervention, nous faisons le point ensemble sur les résultats et toutes les recommandations pour améliorer votre environnement et je vous propose des dispositifs de résolutions ou d’harmonisation si nécessaire.
Les dispositifs sont variés, ils dépendent des problématiques rencontrées, des caractéristiques du lieu et de la sensibilité des habitants.
Et chaque géobiologue a également ses spécialités !
Pour ma part, j’aime tout particulièrement travailler avec les pierres levées ou « points d’acupuncture » de la Terre et avec la géométrie dite « sacrée ». Utilisés depuis toujours par des générations de bâtisseurs et d’artistes, ils ont fort pouvoir d’harmonisation et de mise en cohésion. Mais ils peuvent aussi dynamiser, canaliser, ou révéler un lieu !
Voici quelques cas concrets :
La géoponcture est une solution très intéressante pour les terrains perturbés. Après avoir minutieusement chercher (baguettes ou pendule) la pierre adéquate, son orientation, sa polarité et son point d’implantation, elle est enterrée sur 1/3 de sa hauteur.
Dans les cas ci-dessus, elles ont été associées à des petites pierres semi précieuses protectrices et harmonisantes afin que toutes travaillent en synergie et de manière amplifiée.
Les bâtiments de cette exploitation agricole ont été réinscrits dans un tracé régulateur (rectangle dit « dynamique » basé sur la racine 3). L’idée est de créer une nouvelle forme contenant toutes les formes de bases afin d’amener harmonie et cohésion sur un site anarchique. Les quatre points ont été matérialisés par des buses en béton informé.
Il met en valeur les caractéristiques et la vibration naturelle du lieu. En effet, il est déterminé en fonction de sa position par rapport au balayage solaire dans l’année puisqu’il utilise les levers et disparitions du soleil aux solstices d’été et d’hiver ; Il amène l’harmonie « forme/soleil ».
Le point d’implantation de la tour est déterminé en biosensible. Elle est montée en collaboration avec le client et permet de lisser tous les champs informationnels néfastes.
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